Du moins il me semble, mais n'étant pas journaliste, je ne suis pas le mieux placé pour dire qu'une affaire de faux listings bidons n'a aucun intérêt. Qui suis-je, en effet, pour préférer obtenir quelques informations sur les listings véridiques et non contestés d'une entreprise dont on entend le nom dix fois par jour en ce moment mais dont aucun journaliste ne parle. J'avais fait plusieurs tentatives en plein coeur de la crise, l'hiver dernier, d'obtenir des infos lors de chats avec des economistes, au téléphone sonne de France Inter, mais aucun journaliste ne veut parler de Clearstream. Les journalistes préfèrent parler de CLearstream. C'est drôle, non ?
lundi 28 septembre 2009
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